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Une page perso ? Génial, je vais pouvoir flatter mon égo et parler de moi (parce qu'en vrai, c'est ce que je fais de mieux et j'adore ça ! )
Alors en bref (enfin non, en long, en large et en travers), qui suis-je ?
), juste après le premier pas de l'Homme sur la lune, ou dix-sept ans après si on en croit Hergé.Un parcours scolaire chaotique rythmé par les mutations géographiques d’un père dans les forces de l’ordre.
Un parcours professionnel désordonné : 10 petites années au sein de l’armée dans les années 90, suivies de 20 ans dans la sécurité privée (gardiennage, sécurité rapprochée, sécurité incendie en grande distribution). En parallèle de la sécurité privée : 10 ans de gestion d’un salon de coiffure & beauté, autant en tant que modérateur puis administrateur d’un forum professionnel dédié à la sécurité privée, et quelques années à la présidence d’une asso. Loi 1901.
En 2014, le monde s’effondre : perte d’emploi, divorce et faillite du salon de coiffure. N’ayant plus le goût à ça, j’abandonne en même temps mes activités sur le net. Reprenant un rêve de gosse, je me lance dans l’écriture pour ne pas sombrer dans la dépression.
En 2015, nouvelle compagne, et nouvelle expérience professionnelle. Je mets l’écriture en stand-by pour me former à ses côtés. Nouvelle séparation au bout de deux ans : je me lance donc en solo dans cette nouvelle activité artisanale, et en attendant que la peinture sèche, je me remets à l’écriture.
En mars 2018, je m'inscris donc sur le forum. Je ne savais pas que cela allait changer ma vie. Je ne savais pas, surtout, qu'un an plus tard, j'allais y rencontrer quelqu'un qui allait me permettre de me reconstruire. Baghou... Elle est devenue depuis ma muse, ma compagne et mon oxygène...
Mon caractère : on m’a souvent accusé de psycho-rigidité ; je ne le nie pas. En effet, petit-fils d’un directeur de pénitencier, fils de gendarme, ancien militaire et agent de sécurité moi-même, les lois et règlements régissaient ma vie. Jusqu’à ce que je comprenne que loi et justice n’ont pas la même signification. Depuis, je suis beaucoup plus zen, malheureusement, je n’ai toujours pas d’humour.
Depuis tout gosse, la lecture a aussi rythmé ma vie. J’ai appris à lire très tôt, parce que mon père partait souvent en mission pendant des mois. Et je voulais absolument recevoir et lui envoyer du courrier. Avant l’âge de quatre ans, j’avais donc appris à lire sur les étiquettes des bouteilles d’eau à table. Puis, comme tout le monde, il y eut la Bibliothèque Rose, les BD (Blek le Roc, Zembla, les Tuniques Bleues, Bibi Fricotin, les Pieds Niquelés…), la Bibliothèque Verte, etc. Vers douze ans, j’attaquais Jules Verne, avec une encyclopédie à côté pour vérifier ses théories scientifiques. A quatorze ans, une courte période magazines (Le Monde de la Moto, mais surtout Play-Boy et Penthouse
…). A quinze ans, période rebelle comme tous les ados, où je m’abonnais à l’Huma, plus pour embêter mon père que pour le lire.
Quelques mois plus tard, celui-ci me collait en internat, pour me « discipliner ». J’y suis resté trois ans. C’est à cette époque que je me suis constitué une énorme collection de polars et de romans d’espionnage.
Bien sûr, il y eut toutes les lectures programmées par l’Education Nationale. Ce qui ne m’a pas aidé à avoir mon bac, parce qu’à dix-huit ans, comme tout le monde, j’avais tout vu et tout compris, au contraire de ces idiots d’adultes. Alors lorsque j’ai décrété à l’épreuve de Philo que Kant était un con par rapport à mon esprit supérieur, le correcteur, un imbécile comme tous ces adultes m’a collé un trois éliminatoire, que n’ont sauvé ni mes excellentes notes en langues vivantes ni mes options en langues mortes.
Après mes dix ans d’armée, je suis retourné travailler dans le privé. Mes premières déconvenues avec les employeurs m’ont donné l’envie de me défendre. J’ai donc lu tous les codes : pénal et procédure pénale, civil et procédure civile, travail et même le code de la route. Sans compter les diverses conventions collectives. Ça m’a beaucoup aidé. Sauf lorsque je me suis fait licencier : plus aucun employeur n’a voulu me reprendre.
Je suis très éclectique, en temps comme en origine (j’ai une play-list qui va de Berthe Silva aux tubes des années 80, en passant par Tchaïkovski et le jazz New Orleans). Mais je n’apprécie ni le métal, ni les « musiques du monde ». J’abhorre le rap, le raï et le reggae.
Ma préférence est toujours celle qui a prévalu à mon adolescence, c’est-à-dire le polar et l’espionnage. Mais je suis aussi très éclectique en la matière, et j’apprécie l’historique, la romance, le fantasy ou la SF, mais je ne suis absolument pas attiré ni par le style fantastique, ni par le manga, et encore moins par la poésie (non pas que je ne l’aime pas en tant que telle, mais je n’y comprends strictement rien).
L’informatique (je suis capable de faire tourner Windows 10 sur un PC vieux de quinze ans, et de créer un site internet pro ou perso).
Voici d’ailleurs deux petits site de mon cru. Le premier est consacré à un ouvrage historique sur le village où nous vivions, que mon père (qui s’était lancé à une époque dans l’écriture) a édité à compte d’auteur. Celui-ci n’ayant eu que très peu de succès, j’ai décidé d’en faire un site. Le second est dédié à une collection particulière que j’ai commencée lorsque je travaillais en grande surface :
Arracourt, le plus petit canton de France dans la Grande Histoire de France
Clécaddomania (collection de jetons de caddie publicitaires)
J’ai aussi lancé une page FB qui suit l’avancée du roman, et qui en quelque sorte sert d’illustration comme on pouvait en trouver dans les romans du 19ème siècle :
Daniel Verton
Et tant qu’à faire, le lien vers mon site pro, au cas où quelqu’un serait intéressé par mes talents artisanaux :
Custo’Meubles
En mars 2018, je m'inscris donc sur le forum. Je ne savais pas que cela allait changer ma vie. Je ne savais pas, surtout, qu'un an plus tard, j'allais y rencontrer quelqu'un qui allait me permettre de me reconstruire. Baghou... Elle est devenue depuis ma muse, ma compagne et mon oxygène...
Mon caractère : on m’a souvent accusé de psycho-rigidité ; je ne le nie pas. En effet, petit-fils d’un directeur de pénitencier, fils de gendarme, ancien militaire et agent de sécurité moi-même, les lois et règlements régissaient ma vie. Jusqu’à ce que je comprenne que loi et justice n’ont pas la même signification. Depuis, je suis beaucoup plus zen, malheureusement, je n’ai toujours pas d’humour.
Mes lectures :
Depuis tout gosse, la lecture a aussi rythmé ma vie. J’ai appris à lire très tôt, parce que mon père partait souvent en mission pendant des mois. Et je voulais absolument recevoir et lui envoyer du courrier. Avant l’âge de quatre ans, j’avais donc appris à lire sur les étiquettes des bouteilles d’eau à table. Puis, comme tout le monde, il y eut la Bibliothèque Rose, les BD (Blek le Roc, Zembla, les Tuniques Bleues, Bibi Fricotin, les Pieds Niquelés…), la Bibliothèque Verte, etc. Vers douze ans, j’attaquais Jules Verne, avec une encyclopédie à côté pour vérifier ses théories scientifiques. A quatorze ans, une courte période magazines (Le Monde de la Moto, mais surtout Play-Boy et Penthouse
…). A quinze ans, période rebelle comme tous les ados, où je m’abonnais à l’Huma, plus pour embêter mon père que pour le lire.Quelques mois plus tard, celui-ci me collait en internat, pour me « discipliner ». J’y suis resté trois ans. C’est à cette époque que je me suis constitué une énorme collection de polars et de romans d’espionnage.
Bien sûr, il y eut toutes les lectures programmées par l’Education Nationale. Ce qui ne m’a pas aidé à avoir mon bac, parce qu’à dix-huit ans, comme tout le monde, j’avais tout vu et tout compris, au contraire de ces idiots d’adultes. Alors lorsque j’ai décrété à l’épreuve de Philo que Kant était un con par rapport à mon esprit supérieur, le correcteur, un imbécile comme tous ces adultes m’a collé un trois éliminatoire, que n’ont sauvé ni mes excellentes notes en langues vivantes ni mes options en langues mortes.
Après mes dix ans d’armée, je suis retourné travailler dans le privé. Mes premières déconvenues avec les employeurs m’ont donné l’envie de me défendre. J’ai donc lu tous les codes : pénal et procédure pénale, civil et procédure civile, travail et même le code de la route. Sans compter les diverses conventions collectives. Ça m’a beaucoup aidé. Sauf lorsque je me suis fait licencier : plus aucun employeur n’a voulu me reprendre.
La musique et moi :
Je suis très éclectique, en temps comme en origine (j’ai une play-list qui va de Berthe Silva aux tubes des années 80, en passant par Tchaïkovski et le jazz New Orleans). Mais je n’apprécie ni le métal, ni les « musiques du monde ». J’abhorre le rap, le raï et le reggae.
Mes genres littéraires :
Ma préférence est toujours celle qui a prévalu à mon adolescence, c’est-à-dire le polar et l’espionnage. Mais je suis aussi très éclectique en la matière, et j’apprécie l’historique, la romance, le fantasy ou la SF, mais je ne suis absolument pas attiré ni par le style fantastique, ni par le manga, et encore moins par la poésie (non pas que je ne l’aime pas en tant que telle, mais je n’y comprends strictement rien).
Mes hobbies :
L’informatique (je suis capable de faire tourner Windows 10 sur un PC vieux de quinze ans, et de créer un site internet pro ou perso).
Voici d’ailleurs deux petits site de mon cru. Le premier est consacré à un ouvrage historique sur le village où nous vivions, que mon père (qui s’était lancé à une époque dans l’écriture) a édité à compte d’auteur. Celui-ci n’ayant eu que très peu de succès, j’ai décidé d’en faire un site. Le second est dédié à une collection particulière que j’ai commencée lorsque je travaillais en grande surface :
Arracourt, le plus petit canton de France dans la Grande Histoire de France
Clécaddomania (collection de jetons de caddie publicitaires)
J’ai aussi lancé une page FB qui suit l’avancée du roman, et qui en quelque sorte sert d’illustration comme on pouvait en trouver dans les romans du 19ème siècle :
Daniel Verton
Et tant qu’à faire, le lien vers mon site pro, au cas où quelqu’un serait intéressé par mes talents artisanaux :
Custo’Meubles
Je suis en outre le créateur et administrateur de ce site. J'ai évolué quelques années sur Le Monde de l’Écriture, où j'ai beaucoup appris. Néanmoins, la ligne éditoriale de ce forum s'éloignait de plus en plus de mes idéaux et j'ai donc eu besoin d'un nouvel espace de création. De là est née La Machine à Écrire.
Ce que j'ai commis:
Quelques ouvrages sont sortis de mon clavier ces dernières années. En voici une liste exhaustive. Ils sont tous appelés à être publiés sur le forum au fur et à mesure afin de les retravailler, pour ensuite être proposés en téléchargement.
Daniel et le trésor des Allemands (polar pour ados, style Michel de la Bibliothèque Verte à la sauce vingt-et-unième siècle), écrit l'été 2018
Daniel et les pilleurs de tombes (la suite du polar pour ados précédent)
Le Cartulaire des Barnabites (texte long, polar, en cours : la suite des deux précédents, mais trente ans plus tard dans la vie de Daniel)
Dossiers Delta (écrit pour l'Hiver 19) : Tout le monde connait X-Files. Mais saviez-vous qu’il existe aussi une organisation gouvernementale française, qui travaille depuis 70 ans dans le même domaine que Mulder et Scully ?
Voici le GEIPAN (Groupe d’Études et d'Information sur les Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés).
Un budget de 170 000 euros hors salaires, juste pour « classer et mettre en ligne sur un site internet des rapports d’observation ». Officiellement, deux personnes sont rémunérées par le CNES pour compiler ces rapports et les rendre publics, mais absolument pas pour enquêter ou effectuer de recherche scientifique concernant ceux-ci. Officiellement, ils sont aidés par une vingtaine de bénévoles.
Officieusement, ces deux personnes « qui ne font pas de recherche », sont supervisées par quinze hautes personnalités de l’Armée de l’Air, de la Gendarmerie, de la Délégation Générale pour l’Armement, de la Police et de la Sécurité Civile.
Des rapports d’activité classés secrets, des scientifiques virés ou calomniés après certaines déclarations, un mort d’un cancer foudroyant, un autre qui démissionne et part faire le tour du monde à la voile, un général qui se suicide… Cent bénévoles experts passés à vingt en dix ans, quatre-vingt d’entre eux étant exclus pour affabulation.
Ce n’est pas le cinéma américain, c’est la réalité française. Ce roman n’est qu’une fiction, et les noms des personnes existantes ont été modifiés, mais il est basé sur des faits réels, étayés et vérifiables. Un militaire de l'armée de l'air, une gendarme : un couple d'enquêteurs qui va devoir travailler sur des dossiers d'ovnis qui ne sont pas de la SF.
Dossier Delta : alerte nucléaire, opus 2 des aventures de nos deux héros
Dossiers Delta : Mission Champagne, opus 3, écrit l'hiver 2020, à 4 mains avec Baghéra
Dossiers Delta : Crop-circles en Alsace, opus 4, en cours d'écriture
Anaïs et l'homme des bois, roman à l'eau de rose, écrit au retour d'une retraite de quelques semaines en forêt. Une grande fierté : ce texte a donné l'envie à Baghéra de publier les siens. Aujourd'hui terminé, il est proposé en téléchargement.
Le voyage de la dernière chance : Le fil conducteur de ce texte est l'introspection du personnage.
Lors d'un trek façon "bushcraft" qu'il entreprend au départ pour se prouver qu'il n'est pas "fini" malgré ses déboires, il cherche à comprendre les raisons de son mal-être. On suit donc la progression de ses réflexions tout au long de son voyage.
Lorsqu'il rentre chez lui, fort de nouvelles convictions, il décide de publier un livre relatant son expérience. Il le fait donc sur LMDE. Tout est remis en cause suite à la rencontre d'une personne avec qui il va nouer une relation intime à distance. On va donc à nouveau suivre la progression de ses pensées tout au long de son entreprise de séduction. Pensées qui vont se télescoper avec celles de la personne en question. Décideront-ils de faire le voyage l'un vers l'autre ? Décideront-ils cette fois-ci de prendre un nouveau chemin ensemble ?
Le voyage de la dernière chance : Le fil conducteur de ce texte est l'introspection du personnage.
Lors d'un trek façon "bushcraft" qu'il entreprend au départ pour se prouver qu'il n'est pas "fini" malgré ses déboires, il cherche à comprendre les raisons de son mal-être. On suit donc la progression de ses réflexions tout au long de son voyage.
Lorsqu'il rentre chez lui, fort de nouvelles convictions, il décide de publier un livre relatant son expérience. Il le fait donc sur LMDE. Tout est remis en cause suite à la rencontre d'une personne avec qui il va nouer une relation intime à distance. On va donc à nouveau suivre la progression de ses pensées tout au long de son entreprise de séduction. Pensées qui vont se télescoper avec celles de la personne en question. Décideront-ils de faire le voyage l'un vers l'autre ? Décideront-ils cette fois-ci de prendre un nouveau chemin ensemble ?